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Dominique Bayle rencontre Camille

Dominique Bayle rencontre Camille

Bonjour Camille, peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Camille, j’ai 18 ans et je suis en classe de terminale.

  • Tu as déjà réalisé des rêves avec l’Association, lesquels ?

J’ai réalisé deux rêves avec l’Association Petits Princes. Le premier, je l’ai réalisé lorsque j’avais 8 ans, j’étais passionnée par l’univers du chien de traîneau. Nicolas Vanier m’a offert son livre dédicacé, et je me suis rendue dans le Jura pour passer une journée avec un musher. Je me suis occupée des chiens et j’ai fait une balade en traîneau sous la neige. C’était un moment féerique ; quand je revois les photos de cette journée, je souris toujours en voyant les étoiles que j’avais dans les yeux de petite fille. Le second, je l’ai réalisé il y a 2 ans : je suis allée à Paris dans les studios de France Télévision où j’ai rencontré Anne-Sophie Lapix. J’ai pu discuter avec des journalistes et suivre le comité de rédaction. Pour finir, j’ai assisté au direct du 20h dans les coulisses.

  • Quels sont tes loisirs ?

Hors du lycée, malheureusement, je n’ai pas beaucoup de temps libre, étant donné que je rentre tard le soir chez moi. Cependant, j’aime beaucoup le sport en général et en particulier la course à pied. J’adore le dessin, la guitare, et la photo, et tout ce qui permet de laisser libre cours à l’expression de la créativité et des émotions. Ce que je préfère par-dessus tout, c’est de passer du bon temps avec les gens qui comptent pour moi, ma famille ainsi que mes amis.

  • As-tu un objet fétiche ?

Je n’ai pas spécialement d’objet fétiche, mais parfois j’aime bien me raccrocher à de petites choses qui ont pour moi beaucoup de valeur, comme par exemple un bracelet brésilien ou un trèfle à quatre feuilles que j’ai toujours gardé avec moi.

  • Qu’est-ce que tu aimerais faire comme métier ?

Après mon bac, j’irai à la FAC pour étudier l’Histoire. Pour le moment, je ne sais pas exactement quel métier je souhaite exercer.

  • Si tu avais des conseils à donner à d’autres enfants malades, quels seraient-ils ?

Aujourd’hui, j’ai la chance de ne plus souffrir de ma maladie. Malgré tout, si je devais donner un conseil, ce serait de rester entouré des personnes que l’on aime. Lorsque tout va bien, on a parfois tendance à oublier ce qui compte vraiment pour nous. C’est souvent quand nous nous retrouvons face à une difficulté ou une épreuve difficile à surmonter seul que l’on pense à se recentrer sur l’essentiel, c’est-à-dire l’amour de ses proches.

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